Anaïs Constantin est fan d’hot-dogs et d’underdogs. Elle célèbre l’absurdité du cosmos et le monde qui s’arrange avec pas grand-chose. Logées quelque part entre celles de Courtney Barnett et de Beau Dommage, ses tounes indie-Québ « pour s’enfoncer en soi avec beaucoup de guitares » carburent à la nostalgie des 2000, réconfortantes comme la friture d’une cantine de bord de route.