L’indie folk dépouillé d’Anaïs Constantin traite de l’ordinaire, de cette Amérique souvent morne qui laisse parfois jaillir de grandes poésies et de grandes beautés. Avec sa guitare ténor-baryton, sa plume observatrice et sa voix sensible, l’autrice-compositrice-interprète s’inspire à la fois du rock mélancolique de Dumas et de l’écriture décomplexée de la poète et romancière Maude Veilleux.