Énigmatique personnage qui siphonne son inspiration dans son réservoir d’échecs personnels, Kourage fabrique des chansons incarnées, « manie les mots à la manière d’un mime ». Urbaine, mais du Bas-du-Fleuve, populaire, mais pas connue, polie comme dans brillante de cuivres, de cordes et de machines non artificiellement intelligentes, sa musique parle d’amour et de changements de cycles, de la noirceur qui souvent contient de la lumière.